Aujourd’hui, l’atelier est envahi d’oiseaux blancs qui attendent le pinceau. Comme la douceur le permet, les fenêtres restent ouvertes et ils peuvent aller et venir à leur aise. Bref, ils patientent.
Les branches destinées à les recevoir patientent aussi, certaines blanches et disposées en mouvements choisis pour occuper l’espace. D’autres se feront écorcer et poncer plus tard.
Les oiseaux d’abord…
